vendredi 12 septembre 2014

Bus, 4X4, Bromo, rebus, bateau, encore un bus, taxi et enfin l'Océan...

Mardi matin, départ de Jogyakarta pour un périple jusqu'au Mont Bromo, un des volcans les plus courus d'Indonésie. Nous voilà donc dans un minibus avec 6 autres personnes. Nous y resterons 13h30 jusqu'à l'arrivée à l’hôtel le soir. Je ne reparlerai pas de leur conduite ultra-sportive, mais force est de constater que cela fonctionne. Tout le monde prend garde aux autres conducteurs, même si quelques motorbikes ont du maudire notre chauffeur... La vitesse n’excédant jamais 80km/h et plafonnant souvent à 40 km/h dans un trafic saturé de camions et de motos explique la durée du trajet. Arrivée tardive dans la nuit à l'hôtel. Première odeur de souffre avant de se coucher pour se mettre dans l'ambiance... La nuit sera courte. Le lendemain réveil à 3 heure du matin. Ouf! Maelle garde le sourire, et nous voilà parti en 4X4 pour un sommet surplombant la caldeira du Bromo. Spectacle absolument magnifique que le lever du soleil sur ses volcans. Deux coulées de lave sont visibles, tout le monde a le sourire béa malgré la fatigue, l'altitude et le froid (5°C à 2700 mètres). Après une visite dans la caldeira et une courte marche jusqu'au cratère nous redescendons des images plein la tête. Et nous revoilà repartis pour un nouveau périple de 12 heures qui nous conduira à Bali. Arrivée à minuit et demi à Sanur pour 3 jours de repos et de calme au bord de l'océan pour se remettre de ces 25h30 de trajet en 48 heures...
Vue sur le Bromo et ses acolytes au petit matin.
En pleine lumière.
Sherpa Maëlle à 2700 mètres d'altitude.
La bouche béante du Bromo.
On a marché sur la Lune.
Rencontre du troisième type 1.
On est bien contre son oncle.
Rencontre du troisième type 2.
Petite contribution sonore. La traversée de Java à Bali. Petite contribution sonore. Le bruit de l'océan toujours aussi agréable où que l'on soit.

2 commentaires:

  1. Nous sommes toujours contents de vous voir et de suivre vos découvertes avec les bandes son qui nous mettent dans l'ambiance.
    Attention François, ne ramasse pas trop de cailloux ! Prenez bien soin de Maëlle !
    Biz à tous
    BJL

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  2. Hugh,
    Cela valait le coup les 13h30 de bus !!! Dommage que tu ne puisses pas faire passer les odeurs, on aurait apprécié de sentir l'odeur du souffre nous aussi.

    Remarque, je n'ai cas mettre la tête dans un sac de souffre à la ferme . Réflexion faite, non ça ne fera pas le même effet.

    Merci pour le partage.

    Bises

    Yo

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